Bashô, maître du haïku
Traversons les saisons avec Bashô
Au printemps qui s’en va
les oiseaux crient
les yeux des poissons en larmes
Sous la pluie d'été
raccourcissent
les pattes du héron.
Ce chemin
seule la pénombre d’automne
l’emprunte encore
La rosée blanche
n’oublie jamais
son goût de solitude!
Bashô
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